


une nouvelle journée de lutte contre la prolifération des «mégabassines». Les participants, dont plusieurs associations environnementales, ont répondu à l’appel du collectif Bassines non merci, de la Confédération paysanne et des Soulèvements de la Terre afin de «lutter concrètement contre l’accaparement de l’eau et la destruction d’écosystèmes entiers». Dans l’ancienne région Poitou-Charentes, 93 «réserves de substitution» sont prévues, dont seize dans le Marais poitevin. Ces réserves d’eau gigantesques — des piscines de 8 à 10 hectares (entre 11 et 14 terrains de football), profondes de 15 mètres — symbolisent pour les opposants un modèle agricole ignorant l’urgence écologique au seul bénéfice de l’agro-industrie… »
« En Charente-Maritime, les immenses réserves d’eau utiles à l’agro-industrie provoquent l’ire des écologistes. Surtout que cinq d’entre elles, dont celle démontée samedi 6 novembre, n’auraient jamais dû être construites. »