( annonce Sud Ouest) C’était le 03 juin: les organisations de plusieurs départements se donnaient rendez-vous, avec de nombreux élus et des habitants, pour s’informer mutuellement et se coordonner pour la suite, car les travaux s’annoncent en Gironde! Des concertations ont eu lieu sur la suite à imaginer ensemble, toutes associations et collectifs, élus, concernés par le GPSO. Apprenant à nous connaître mieux, nous avons posé plusieurs jalons possibles, nous commencerons par une journée de travail le 09 Juillet.
- En restitution du 03, une large couverture médiatique signalée par une association organisatrice:
- France 3 – Tous les opposants au projet de LGV entre Bordeaux et Toulouse d’un côté, et Bordeaux et Dax de l’autre, se sont donnés rendez-vous au sud de Bordeaux à Saint-Médard-d’Eyrans. Associations, habitants, élus, organisent une balade naturaliste pour dénoncer les impacts du projet.
- Le Monde – LGV Sud-Ouest : en Gironde, 400 manifestants comptent « durcir » la lutte– Les opposants au projet ferroviaire dénoncent un « projet mortifère » qui conduirait selon eux à l’artificialisation de 5 000 hectares en traversant notamment la vallée du Ciron.
- Sud Ouest – Mobilisation contre la LGV en Gironde : pour les opposants, ce projet est « un non-sens » aujourd’hui – « Éliane est venue du Sud des Landes pour afficher sa solidarité avec les Girondins. Elle fait partie du Collectif des associations de défense de l’environnement du Pays-Basque et du sud des Landes. « Ce qui me révolte, c’est l’absence de démocratie », tonne la dame qui n’a pas vraiment le profil d’une zadiste.
- France bleu –« Des maisons vont être démolies » : à Saint-Médard-d’Eyrans, près de 400 personnes se mobilisent contre la LGV…Une journée organisée sous l’impulsion de la mairie de la commune et des principales associations luttant contre le projet.
Rue 89 – Sur le tracé des projets d’aménagements ferroviaires au sud de Bordeaux (AFSB) et de la ligne à grande vitesse (LGV) Bordeaux-Toulouse, Saint-Médard-d’Eyrans a accueilli ce samedi 3 juin une mobilisation d’environ 500 personnes. Dénonçant fracture territoriale, catastrophe écologique et investissements titanesques, les opposants se sont dit prêts à aller jusqu’au bout pour empêcher la LGV de voir le jour.