A l’occasion d’un article paru dans le journal Sud Ouest, il paraît incroyable de devoir rappeler que les errements en matière de prix de l’énergie atteignent déjà les collectivités locales…et ce d’autant plus que les finances des communes, et surtout elles, ont été réduites par l’Etat comme peau de chagrin ( « Entreprises et collectivités territoriales doivent aussi bénéficier d’un tarif réglementé de l’électricité et de mesures d’accompagnement pour compenser l’augmentation des prix, ont estimé des élus de l’opposition »…).
C’est aussi l’occasion de redire que les projets d’investissements d’un autre temps (celui de « l’insouciance » et de « l’abondance » est fini, selon le chef de l’Etat…), tel celui des Lignes ferroviaires à Grande Vitesse, en sont d’autant plus inacceptables en période inflationniste. En effet, constat est fait que les communes étranglées financièrement en sont à ne pouvoir accepter des enfants dans les piscines, les crèches ou les cantines…réduisant de fait l’accès à des services publics tandis que la population, elle, en aurait bien besoin, notamment d’un ferroviaire de proximité pour se déplacer. Si la future taxe LGV qui nous guette devient de plus en plus inacceptable, flécher les ressources sur un tel équipement au coût potentiellement inflationniste, le devient également! Oui, l’heure est grave pour les communes.
Pour information, on pourra écouter et lire ce décryptage, concernant la situation des communes où qu’elles se situent, fait par un élu d’opposition: CLIQUER SUR CE LIEN https://m.facebook.com/story.php?story_fbid=1489727484862995&id=100014772737563