NON LGV – Meeting régional à Bordeaux le 30 avril – Réunions publiques

  • Une étape de la mobilisation concertée de toutes les organisations et citoyens opposés à la LGV du GPSO promet d’être spectaculaire. Ce sera un meeting régional, le samedi 30 avril à 15h 30, salle Athénée à Bordeaux. Vous connaissez l’enjeu, soyons nombreux!

D’ores et déjà, nous voulons informer, solliciter les participations et noter les inscriptions, organisation par organisation (Nous trancherons début avril si nous faisons un bus, si nous y allons en train ou en covoiturage. L’important c’est d’avoir une idée du nombre à ce moment là). C’est à chacun de réaliser ce travail, dans chaque organisation, et de faire remonter les nombres d’inscriptions auprès des associations opposantes (par le CADE, par exemple, sur notre formulaire de contact Nous contacter | CADE : Collectif des Associations de Défense de l’Environnement du Pays-Basque et du sud des Landes (cade-environnement.org), une fois que vous avez commencé à centraliser, ou bien sur le réseau social transpartisan en message privé NON LGV 40 | Facebook).

2 – Les réunions publiques – Nous disposons d’un diaporama évolutif que nous accompagnons d’orateurs , et ce à la demande. Dans chaque commune en 64/40, mobilisez-vous pour créer un évènement de réunion publique (une salle, une date), et nous viendrons mener les réunions d’informations. Sollicitez-nous, nous en sommes bientôt à la 8ème réunion depuis que le projet a resurgi. A vous de jouer, là où vous habitez, les associations (CADE ou autre) viendront vous aider à informer!

3 – Créer des associations locales – N’attendez pas pour créer, dans chaque village du tracé, une « association de défense de l’Environnement et de la qualité de vie sur le territoire de la commune de … »; ça peut toujours servir, et aide à tenir les gens mobilisés. Car pour pouvoir agir le moment venu, la réglementation impose la création au moins un an à l’avance d’une association qui pourra être reconnue comme « ayant intérêt à agir ». Plus il y en aura, mieux cela vaudra éventuellement, et tenez-nous au courant: consultez le précédent article ci-dessous(origineRamDam)

RamDam – « L’INTERET A AGIR » est un concept qui doit être connu dans les zones urbanistiques. – S’en préoccuper maintenant, peut permettre d’agir plus tard pour déposer des recours –
DISPOSITIONS DE LOIS – Ramdam 64/40 signale à quelle condition on peut avoir « intérêt à agir » en matière d’occupation ou d’utilisation des sols.
« Loi Elan ou loi Hélas ?
La loi Elan du 23 novembre 2018 avait l’ambition de permettre de construire « plus, mieux et moins cher ». et «fluidifier » les contentieux concernant l’urbanisme. En Français de tous les jours : faire taire les « emmerdeurs » qui voient le mal partout (alors qu’en matière d’urbanisme, il n’y a que des anges, c’est bien connu). Pour ça une disposition rusée mais méconnue :
« Une association n’est recevable à agir contre une décision relative à l’occupation ou l’utilisation des sols que si le dépôt des statuts de l’association en préfecture est intervenu au moins un an avant l’affichage en mairie de la demande du pétitionnaire « 
Donc, citoyens, il vous faut avoir un don de visionnaire. Vous voyez un terrain à protéger qui risque d’attirer le regard d’investisseurs ? Créez vite fait une association. ‘au cas où’.
ATTENTION: l’association doit, par son objet, être liée au local, au PLU. d’une collectivité locale par exemple (Plan Local d’Urbanisme).

Autorisations d’urbanisme : la limitation du délai de recours des associations pose question (actu-environnement.com)

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