Rappelons que la banque qui a porté plainte fait l’objet de poursuites collectives (class action) devant la justice américaine par 68 plaignants qui lui demandent 2,4 milliards de dollars de dommages et intérêts pour avoir facilité, en violant l’embargo américain, le financement du terrorisme au Soudan.
Attac dénonce la multiplication des mesures liberticides favorisées par l’état d’urgence, et qui frappent en particulier les citoyennes et citoyens menant des actions de désobéissance civique.